Le
11 mai, plusieurs étudiants (et professeurs) sont allés voir la pièce
"La vie c'est comme un arbre" au Centre culturel d'Uccle: c'est une
pièce qui raconte sous une forme
très comique l'histoire de 3 jeunes Marocains
venus en Belgique dans les années 60 pour travailler à la construction
du métro bruxellois.
Voici
le commentaire d'Anca-Maria (2.2):
"Je
voudrais vous dire que cette pièce que j'ai vue, "La vie c'est comme un
arbre," est très comique mais que j'ai aussi senti beaucoup de
tristesse. Quand on la voit, on a un oeil qui rit et un oeil qui pleure.
Le sujet peut aussi être valable pour d'autres nationalités que les
Marocains. C'est valable pour tous les gens qui sont obligés
d'abandonner leurs maisons et de partir à l'étranger pour travailler.
Le sujet est très profond et sera toujours d'actualité parce qu'il y a
beaucoup de gens qui veulent travailler mais qui ne trouvent rien à
faire dans leurs pays. C'est vrai que si tu n'est pas Einstein ou une
autre personne reconnue, tu n'est pas très bien traité. Il y a beaucoup
d'obstacles qu'on rencontre quand on veut se faire engager. Les acteurs
ont très bien joué, ils ont exprimé leurs douleurs mais sous une forme
comique. Je crois que même
si tu trouves un bon travail et que tu gagnes beaucoup d'argent à
l'étranger, ce n'est pas comme dans ton pays parce qu'il y a quelque
chose qui te manque et qui ne peut jamais être remplacé par d'autres
choses. C'est le coeur qui souffre parce qu'il y aura toujours des
membres de la famille qui resteront au pays.
C'est la séparation qui fait pleurer les coeurs.Il y a beaucoup
d'écrivains qui ont écrit sur ce thème de la terre natale. C'est
seulement les gens qui partent à l'étranger et abandonnent leur maison qui
peuvent vraiment comprendre ce sujet.
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